Culture : les coups de coeur de l’E2C !

Culture : les coups de coeur de l’E2C !

Dans le cadre d’un atelier d’écriture journalistique, les stagiaires de l’E2C vous font découvrir leur coup de coeur culturel du moment. Une petite sélection pour vous donner des idées « télé » pour ce week-end…

La Casa de Papel : des braquages inoubliables

Un homme mystérieux, surnommé le Professeur, planifie le meilleur braquage jamais réalisé. Pour exécuter son plan, il recrute huit des meilleurs malfaiteurs en Espagne qui n’ont rien à perdre. Le but est d’infiltrer la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre afin d’imprimer 2,4 milliards d’euros en moins de onze jours, sans victime — malgré la présence de 67 otages, dont la fille de l’ambassadeur du Royaume-Uni, Alison Parker.

Dans la première saison, une jeune criminelle en cavale, recherchée par tous les policiers d’Espagne, passe un dernier coup de fil à sa mère avant de quitter le pays. Mais un inconnu l’aborde dans la rue et lui propose un nouveau casse de 2,4 milliards d’euros. Elle accepte, et se retrouve avec sept autres braqueurs dans une maison à Tolède, où le Professeur leur propose d’élaborer un braquage pendant cinq mois. Pour garder l’anonymat, elle devient Tokyo et devra donc agir avec Berlin, un voleur de bijouteries, Moscou, un spécialiste de la mécanique précise, et son fils Denver, qui lui a un penchant pour la bagarre. Elle découvre aussi Rio, un jeune hacker, Oslo et Helsinki, deux serbes, et Nairobi. Pendant ce temps-là, la police engage Raquel Murillo, la meilleure négociatrice du pays…

Les cinq saisons de la série racontent les différents braquages menés par cette équipe de voleurs. La saison 5 vient tout juste de sortir sur Netflix.

Pourquoi je vous conseille cette série ?
Car c’est une série très mouvementée avec beaucoup de suspense. On s’attache aux personnages. Encore un peu de patience pour une nouvelle saison en décembre !

Texte écrit part Rachelle G. / Photo de Mathis Rieutord

The end of the f***ing world : une série drôle et touchante

The end of the f***ing world est une série britannique réalisée par Jonathan Entwistle. C’est une comédie dramatique en deux saisons dont les épisodes durent 24 minutes, créée en 2017. La série raconte l’histoire de James et Alyssa, deux adolescents britanniques. Alyssa a 17 ans et vient d’emménager dans une petite ville avec sa mère qui vient de se remarier avec son beau-père et ses petits frères issus de ce remariage. Sa mère est complètement dévouée à son nouveau mari et ne fait plus attention à elle. Son beau-père la harcèle sexuellement.

Elle se retrouve donc complètement mise à l’écart dans sa propre famille et décide d’adresser la parole à James qu’elle trouve aussi seul qu’elle. James lui a 17 ans et vit avec son père. Depuis son enfance il est persuadé d’être un psychopathe. Passionné de taxidermie et s’étant ébouillanté la main dans une friteuse pour voir s’il ressentirait quelque chose ce qui lui a laissé une cicatrice à vie. Mais James en ayant marre des petits animaux décide de tuer quelque chose de plus gros : un être humain. Alyssa et James se mettent à sortir ensemble. James a accepté car il veut la tuer. Puis Alyssa demande à James s’il veut fuguer avec elle car elle veut retrouver son père et il accepte….

Pourquoi je vous conseille cette série ?

La première chose que j’ai vue de cette série était la photo de présentation j’ai trouvé le contraste entre le titre et l’image intriguant, c’est ce qui m’a donné envie de regarder la série. Cette image décrit parfaitement la série car elle montre à la fois le chaos de leurs vies et leur solitude. J’ai également apprécié la série pour son humour noir qui donné énormément de dynamisme. Mais la chose que j’ai le plus apprécié était la musique de Graham Coxon et le thème de la bande originale dans le titre est inspiré « The end of the world » de Skeeter Davis. Enfin la raison pour laquelle je conseillerais la série et parce qu’elle est touchante, on s’attache très vite aux personnages qui subissent leur vie et font de leur mieux pour s ‘en sortir malgré les circonstance, tout en faisant preuves de beaucoup de droiture et d’honnêteté.

Texte écrit par Halwarati

REALLY LOVE (Sur Netflix)

A Washington, Isaiah, peintre noir à la carrière prometteuse, tente de percer dans le monde compétitif de l’art. Stevie est une étudiante en droit ambitieuse . Ils se rencontrent pour la première fois lors d’une exposition d’ Isaiah, et c’est le coup de foudre immédiat. Lui est pauvre, elle gagne beaucoup d’argent. Stevie aime beaucoup Isaiah, elle l’a invité chez ses parents pour faire de connaissance. Mais sa mère ne l’aime pas parce qu’il est pauvre.  Le film parle de cette l’histoire d’amour inattendue, compliquée mais belle…

Pourquoi j’ai (beaucoup) aimé ce film…

J’ai beaucoup aimé ce film car il finit bien, malgré les obstacles (travail, l’argent), Stevie et Isaiah se retrouvent à la fin du film. C’est une belle histoire, qui pourrait nous arriver à tous dans la vraie vie…

Texte écrit par Mariam